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Les recettes d'Elyria

12 avril 2011

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11 avril 2011

Faut-il attacher ses cheveux la nuit ?

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Longtemps, je me suis couchée perplexe au sujet de mes cheveux : est-ce préférable de les attacher la nuit, et si oui, comment ? Selon leur nature, leur longueur, votre sommeil, l’aspect de la coiffure au réveil peut sembler satisfaisant ou agaçant. Certains se plaignent d’avoir des épis, des mauvais plis. D’autres constatent une trop grande quantité de nœuds. Je vous propose ici divers éléments de réponse, afin de déterminer au mieux votre choix en fonction de vos cheveux et de votre confort.

Attacher ses cheveux la nuit n’est pas systématique. Ni obligatoirement recommandé. Si vous portez déjà des coiffures à contraintes (élastiques, pinces, torsades, tresses), le jour, mieux vaut permettre à votre cuir chevelu de respirer et dénouer vos longueurs afin de ne pas provoquer de casse aux endroits régulièrement serrés. On s’inquiète du frottement des pointes contre les draps ou l’oreiller. Il est sans doute plus intense contre les vêtements. Je crois que le plus usant pour les longueurs n’est guère ce petit frottement, mais le risque d’accrochage, si l’on se retourne, si l’on s’enroule dedans, si l’on ne dort pas seul(e). 


Il y a également des longueurs « critiques ». Aux épaules, par exemple, tête allongée, les cheveux tombent tout autour : il est plus difficile de les maintenir au dessus, d’un côté, ou hors du matelas. Les mauvaises surprises, le matin, sont fréquentes (pli des cheveux sur la nuque, par exemple, ou volume plus exagéré d’un côté du crâne). Passé les omoplates, même si la longueur demande plus de soins, je trouve qu’il semble plus facile de s’arranger la nuit. Vous pouvez regrouper vos cheveux d’un côté de la tête et les laisser pendre au bord du lit, ou les placer sur un oreiller, ou bien encore le long de votre buste, en prenant garde de ne pas les coincer sous votre bras. Si vous vous retournez, ils suivent votre mouvement, mais leur poids les rend moins versatiles, ils demeurent d’avantage groupés.

Pour les personnes ayant une longueur sujette aux plis, ou n’appréciant pas la sensation des cheveux sur leur corps durant le sommeil, il est possible de trouver quelques attaches. L’essentiel est de ne pas les serrer, ainsi que d’éviter de placer l’élastique chaque soir au même endroit. Ainsi, la technique de la tresse (sur le côté ou dans le dos) est bien connue. Elle évite les nœuds. Mais les pointes s’abîment souvent à cause de l’élastique et des petits cheveux viennent se casser au niveau de la nuque. Il est également envisageable de faire une simple couette basse, sur le côté du cou. C’était, d’après mon expérience, ce que je préférais lorsqu’ils ne dépassaient pas les omoplates. Autre technique : un chignon très haut, sur le sommet du crâne. Les cheveux sont enroulés. Le rendu reste raide si telle est naturellement votre nature. Je n’ai testé qu’une fois, et j’ai trouvé que cela exerçait toute de même une pression au niveau des raines. Combinée au frottement de la tête sur les draps, cela favorise sans doute l’apparition de petits cheveux courts près du crâne.

La meilleure solution reste le bonnet de nuit !Un peu démodé, agréable en hiver, insupportable en été, il réduit pourtant bien la casse puisque les cheveux restent, sans pour autant se voir attachés, ensemble, en masse, dans une pièce de tissu qui limite les frottements. Il faut choisir des matières naturelles, afin de ne pas provoquer d’électricité statique et de choc avec la fibre capillaire. La soie est recommandée. Je trouve, malgré les avis, que le coton n’est pas mal non plus. Les cheveux respirent bien. Pas très esthétique, cette solution évite pourtant une partie des nœuds et permet de dormir tranquille.

Et vous, quelle est votre technique ?
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9 avril 2011

Trouver sa routine capillaire

Comme pour notre peau et notre corps, la routine de soins apparaît telle un plan d’attaque pour obtenir le résultat voulu avec nos cheveux. Elle concerne aussi bien les produits, que les gestes apportés, le temps consacré, selon l’objectif visé. Une bonne routine donne une sensation de confort et de certitude, renforce et détermine le choix des ingrédients : elle permet de cibler vos besoins spécifiques et d’y répondre de manière optimale. Tout cela semble pourtant bien technique, or une routine capillaire doit s’installer naturellement, après avoir trouvé vos envies.
  
Un exemple : ma routine

Depuis des années, je souhaitais retrouver ma masse capillaire et ma longueur de l’enfance, lorsque les déficiences alimentaires et les colorations chimiques ne les avaient pas altérées. J’utilisais, en vain, des produits de salon de coiffure, et le lisseur quotidiennement. Mes pointes étaient fourchues, inégales, les cheveux cassés à divers endroits, même très haut, un peu ternes, extrêmement secs aux pontes et gras aux racines, et ils tombaient par poignées.

J’ai décidé d’opter pour les soins naturels et/ou biologiques, le maximum de recettes maison.
Pour uniformiser ma couleur et retrouver de l’épaisseur, rééquilibrer le sébum, j’ai convenu d’un henné par mois. J’ai fabriqué un shampoing personnalisé à partir d’une base lavante. J’ai entrepris de faire des masques avant chaque shampoing et de badigeonner mes pointes d’huile entre deux.  Je les coupais mensuellement d’un centimètre.

Mais un henné par mois, au bout d’un an, a trop foncé ma couleur. J’ai espacé tous les deux mois, et décidé d’essayer le henné neutre.
Après quelques tests, j’ai compris que mon shampoing ne devait pas omettre certains ingrédients. Mes cheveux ont besoin d’un masque très riche une fois par semaine. Je dois les couper tous les trois mois pour égaliser les longueurs et surveiller les fourches.

De mixtes à très secs, mes cheveux sont redevenus normaux. 

Aujourd’hui, ma routine est prête.

- Un bain d’huile avant chaque shampoing, qui se transforme, une fois sur trois en masque complet (différentes huile plus riches, aloé véra, phytokératine), à laisser toute la nuit.
- Un shampoing maison contenant obligatoirement de l’oléïne de karité et de l’huile d’argan parmi divers autres ingrédients, tous les cinq jours environ.
- Un après-shampoing (soit Lavera lait de rose, soit vervaine et citron de Gravier), à laisser poser un quart d’heure.
- Séchage à l’air libre sans peigner jusqu’au lendemain.
- Un démêlage au peigne tous les deux jours, pas besoin de plus, cela évite la casse. Un brossage une fois par semaine.
- Un peu d’huile sur les pointes au milieu de la semaine.
- Un henné tous les deux/trois mois.
- Des coiffures qui n’abîment pas.
- Couper les pointes d’un centimètre tous les trois mois.

Comment déterminer sa propre routine ?
Au début, on tâtonne, dans la composition des produits, dans la nature des ingrédients, la fréquence des soins. On teste, on note ou l’on change d’idée. Avec le temps et les satisfactions, s’installent une panoplie de soins récurrents.

Voici un petit questionnaire pour vous aider :

L’aspect :

Il faut observer vos cheveux et déterminer leur nature : gras, secs, mixtes ?
Sont-ils frisés, ondulés, raides, crépus, autre ?
Quels sont les endroits abîmés ?
Sont-ils cassants, ternes, mous ?
Vous paraissent-ils fins, épais, ou entre les deux ?

Au niveau de la couleur :

Avez-vous envie de modifier votre couleur ?
Faut-il éclaircir, foncer ou garder la couleur de vos cheveux intacte ?
Avez-vous une coloration chimique et depuis combien de temps ?
Souhaitez-vous irréversiblement passer au henné ?

La pratique/le budget :

Avez-vous le temps, la motivation, de fabriquer vos propres soins ?
Quel budget souhaitez-vous leur consacrer ?
Pouvez-vous dormir avec un masque, un henné ?
Devez-vous acheter une liste d’ingrédients de base, pour commencer ?

Les gestes :

Avez-vous assez de patience, de temps à leur consacrer ?
Etes-vous prête à investir dans de nouveaux accessoires, changer vos habitudes ?
Faîtes-vous preuve de douceur lorsque vous les manipulez ?
Evitez-vous de les serrer, de les contorsionner, de les peigner trop vigoureusement ?
Parvenez-vous à vous passer des accessoires chauffants ?
Avez-vous des contraintes climatiques ou des activités particulières influant sur l’état et les soins de vos cheveux ?

Vos attentes :
Souhaitez-vous plus de masse, plus de longueur, plus de volume ?
Voulez –vous améliorer leur brillance, leur douceur ?
Souhaitez-vous les avoir moins gras ou moins secs ?
Désirez-vous modifier leur couleur, les éclaircir ou les foncer ?
Désirez-vous transformer leur nature (les raidir, les onduler…) ?

N’hésitez pas à remplir ce questionnaire et le poster dans les commentaires ou me l’envoyer par e-mail, afin que je vous propose un diagnostique personnalisé.


Les solutions :

Il faut faire de nombreuses recherches sur internet lire des avis, des témoignages, afin de régler chaque problème et de trouver les solutions adaptées à vos attentes. Par exemple, si vos cheveux sont gras ou secs, vous trouverez, dans ce blog, les articles adéquats mentionnant les produits à utiliser dans vos préparations, afin d’enrayer le problème.

Notez vos impressions, au fil du temps, les produits qui vous ont plus, l’évolution de vos cheveux. Changez vos habitudes, améliorez votre alimentation.
Dressez la liste des ingrédients qui correspondent à vos aspirations, et investissez, si vous choisissez les soins naturels, dans les bases. Le coût de départ est le plus, mais une fois que vous posséderez les matières premières, qui durent longtemps, il vous suffira de renouveler progressivement votre stock. Par exemple, au tout début, j'ai passé une commande de quarante euros afin de me procurer les huiles végétales, la base lavante, les conservateurs, et autres produits actifs nécessaires, mais ensuite, mon budget mensuel varie entre un et cinq euros, parce que le nécessaire est déjà à la maison, pour refabriquer les shampoings et les masques.
Lisez des avis et testez quelques après-shampoings du commerce. Les marques biologiques et respectueuses des animaux, sans paraben, ni composants chimiques toxiques, proposent d'excellentes solutions. 
Au fur et à mesure des traitements, vos cheveux seront plus beaux, plus lisses, plus faciles à coiffer, et vous pourrez sans difficultés réduire l'utilisation des appareils coiffants chauffants, voire les reléguer définitivement au placard. 
Photographiez ou mesurez régulièrement vos cheveux afin de suivre leur évolution. De même, observez les moindres changements pour ne pas les saturer au niveau des soins et trouver la fréquence adaptée. Ils doivent être légers, brillants, doux, sans aspect mouillés ou gras (trop de soins les rendent ternes, lorsque la fibre capillaire ne parvient plus à aspirer l'excèdent. Il suffit alors d'espacer la fréquence.)

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6 avril 2011

Attacher ses cheveux sans les abîmer.

 
 
Nombreuses sont les personnes qui recommandent, afin de protéger les pointes, d’attacher le plus souvent possible ses cheveux. Ce conseil parfois rébarbatif semble donner d’excellents résultats vu les crinières obtenues. Afin d’échapper à la monotonie, et de ne pas regretter de porter ses cheveux le long du corps, l’imagination et la créativité deviennent d’excellents atouts. Une jolie coiffure relevée met la nuque et les traits du visage en valeur. Malheureusement, je ne possède pas de talent particulier comme Coquilico, afin d’inventer et de reproduire d’aussi belles façon de protéger ses longueurs. Peut-être est-ce pour cela que je préfère les laisser quotidiennement ou presque en liberté, et les relever rapidement lorsque je travaille à domicile.
L’art de la coiffure demande quelques accessoires. Mais afin de ne pas casser ses cheveux, il importe également de choisir ceux qui ne présentent pas de dangers pour la fibre capillaire. Au premier abord, tous semblent adaptés et recommandés mais il existe quelques pièges à éviter. Car une mauvaise attache cause plus de dégâts que de bienfaits.
Sur la photographie, vous pouvez voir ceux que j’utilise régulièrement et qui sont en général recommandés. 

Naturellement, évitez de tirer trop fortement vos cheveux. Vous ne devez pas ressentir la moindre douleur ou tension dans une mèche lorsque vous portez votre coiffure, sinon, à la longue, la partie concernée risque de s’abîmer progressivement, soulevant les écailles et favorisant la casse (que vous pouvez constater lorsque vous voyez de nombreux petits cheveux bien plus courts que les autres).

Les pinces en plastique, type « crocodile », munies de dents, sont généralement tolérées. Le ressort en fer qui permet leur flexibilité n’entre normalement pas en contact avec les cheveux (pourtant, certains se coincent parfois dedans). Une chose me dérange cependant : lorsque l’on relève et torsade ses cheveux en arrière, dans le but de les maintenir, ce type de pince attrape la masse principale et s’accroche aux cheveux plaqués contre le crâne. Ce phénomène crée parfois une sensation de lourdeur. Le poids de la queue de cheval est supporté par les racines. J’ai l’impression que cela fragilise énormément cette partie de la fibre capillaire.

Les petites pinces crocodiles destinées à retenir une mèche en arrière (frange, par exemple, ou si plusieurs servent à fixer un chignon) me paraissent mieux adaptées car elles ne font pas supporter une telle masse de cheveux à une minorité de racines. En cela, elles sont plus avantageuses que les pinces plates métalliques (comme sur la photo), dans lesquelles se coincent souvent des petits cheveux.  

Les élastiques, indémodables, ne présentent aucun risques lorsqu’ils sont complètement en mousse (sans bague de fer, par exemple). Evitez de trop compresser les cheveux en faisant un grand nombre de tours, de les torsader trop serrés et surtout de placer quotidiennement l’élastique au même endroit. La coiffure réalisée peut s’avérer responsable des dégâts. L’alternance les limite en déjouant les mauvais plis et la fragilité des fibres attachées.

Le chouchou, plus rembourré, semble moins agressif.

Enfin, ici présent un accessoire souvent apprécié : la pique à chignon. Il s’agit d’un bâtonnet poli (souvent en bois, ou en plastique), dont la nature et la forme ne présentent pas de danger pour les cheveux. Il permet de les attacher sans le recours des élastiques ou pinces cassantes. Néanmoins, une chose me dérange un peu lors de son utilisation : il faut torsader fermement les cheveux, les enrouler, les serrer, et la pique qui passe entre ces torsades maintient le tout en s’appuyant sur les racines et nouant parfois les longueurs entre elles. Les coiffures sont généralement serrées. Personnellement, je les trouve inconfortables et j’ai l’impression de casser à chaque fois un grand nombre de cheveux, à l’endroit où la pince plantée se retourne pour fixer le tout. Peut-être est-ce simplement une absence de bonne technique ?
Les pinces métalliques semblables à celles-ci, dont le fermoir, à l'arrière, est plat, comme un petit crochet qui  s'enclenche, sont, parait-il, redoutables pour nos longueurs ! Souvent lourdes (je ne peux d'ailleurs pas porter celle de la photographie pour cette raison, et lui préfère une autre plus chic, un nœud noir de tissus),  elles s'accrochent et cassent progressivement les cheveux attrapés. C'est dommage car le principe est plaisant : sans torsader ni véritablement serrer (différentes largeurs existent), elles retiennent les cheveux en arrière.
 
Finalement, le frottement des longueurs contre les vêtements ne me semble pas pire ! Quoique l'on fasse, il reste impossible d'empêcher l'usure naturelle.

Certes, il n’existe pas de recettes miracles pour attacher ses cheveux sans les abîmer. L’idéal est l’alterner les coiffures. De les laisser régulièrement respirer. De ne pas sensibiliser quotidiennement le même point d’ancrage.

Et vous, quelles sont vos habitudes ?
Que pensez-vous des accessoires ?
Préférez-vous porter vos cheveux lâchés ou détachés ?


A voir prochainement, d’autres accessoires de coiffure : les serre-têtes. Et un article pour la nuit : vaut-il mieux attacher ses cheveux ou les laisser libre pour dormir ?

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3 avril 2011

Les bienfaits des fraises sur les cheveux...

Les fraises de saison sont délicieuses : acidulée, sucrées, juteuses, fondantes et fermes à la fois. Leur variété (gariguettes, ciflorettes…) présente des qualités gustatives différentes, et les subtilités se retrouvent même d’un fruit à l’autre. La dégustation promet toujours de nombreuses surprises. Il m’est agréable de remplacer toutes les friandises plus caloriques par la légèreté de ces fruits. Remarquant que ma peau s’améliorait considérablement depuis ce régime (douceur, teint plus uniforme, moins de rougeurs), j’ai effectué quelques recherches sur internet, afin de connaître précisément leurs bienfaits. Si de nombreux sites expliquent les propriétés de ce petit fruit rouge, peu d’entre eux évoquent concrètement son action sur les cheveux. Il me semble dommage, comme le recommandent certains, d’appliquer un masque à la purée de fraise alors qu’il est tellement plus agréable de les déguster et laisser leurs propriétés nous régénérer en profondeur.
Quels sont les bienfaits des fraises pour les cheveux ?

Composée de peu de sucre et de 90% d’eau, la fraise se révèle riche en victime C, en Bêta-Carotène, en acide folique (vitamine B9), magnésium, fer, potassium et calcium.

L’hydratation est capitale afin d’avoir des cheveux souples, brillants et vigoureux.
Il faut savoir que l’acide folique favorise leur croissance et contribue, avec le fer et le magnésium, et le bêta carotène (un puissant anti-oxydant), à leur bonne santé en préservant leur chute. 

Une insuffisance de vitamine C peut également causer perte de cheveux et pointes fourchues. Lorsqu’elle est sont nourrie et hydratée, la fibre capillaire de devient moins cassante. L’alimentation joue aussi un rôle important pour préserver votre longueur et obtenir des pointes saines.

Par son action et les forces qu’il apporte, le magnésium simule la croissance et la résistance des cheveux. Le potassium, souvent associé, est responsable de leur brillance comme de la solidité des ongles.

Certes, comme toute alimentation équilibrée, et comme toute source de vitamines naturelles, la fraise est un fruit idéal pour préserver la beauté des cheveux et favoriser leur croissance. J’avais tout de même envie de vous la présenter sous un autre aspect qu’en cosmétiques ou masques appliqués extérieurement, car c’est peut-être l’un des seuls fuits que je consomme dans l’année, mais qui m’apporte, à cette période, des résultats positifs flagrants tant sur ma peau, mes cheveux, que la forme générale. Et je suis persuadée que, même si plus longs à venir, les résultats "intérieurs" demeurent plus durables que tout autre soin.

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2 avril 2011

TRANSFERT DU BLOG

Je souhaite déménager sur une autre plateforme et transfère progressivement les articles de ce blog vers ma nouvelle adresse.

Elyria sera toujours mis à jour en parallèle, mais j'aimerais dès que possible ne m'occupper plus que de nom autre blog, toujours au sujet des longs cheveux.

Retrouvez moi sur : http://longscheveux.blogspot.com/

 Merci pour vos commentaires et votre participation qui me donne l'envie de continuer !

 

2 avril 2011

Natessance – Gel douche poire vanillée biologique (250 mL)

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Note: ★★★★☆

Marque: Natessance
Catégorie: Gel Douche
Contenance: 250 ml
Caractéristique: produit biologique
Où le trouver ? Magasins biologiques, internet, parapharmacies...
Prix: environ 5,70 euros

 

Dans la continuité de mes découvertes concernant les produits naturels, et/ou biologiques mais surtout non testés sur les animaux, il est temps de vous présenter un nouveau gel douche au parfum original : poire vanillée de Natessence. La fragrance délicatement sucrée m’a séduite, car il est rare de rencontrer des senteurs n’évoquant pas les aromes artificiels et chimiques. Celle de ce gel lavant reste discrète et à l’image de sa douceur.
Formulé sans savon, il convient à tout type de peau, et nettoie sans agresser. Contrairement à certains produits du même type, il mousse agréablement et une noisette s’avère largement suffisante.

Suite à quelques recherches au sujet d’un autre thème, j’ai appris que nombreux produits lavant vendus dans les commerces, vantant l’hygiène corporelle ne possèdent en réalité guère les propriétés nécessaires afin de nettoyer l’épiderme. Certes, notre société vante parfois exagérément la nécessité de se parfumer et d’aseptiser son corps (or, des douches trop fréquentes se révèlent également nuisibles en ce qu’elles détruisent les « bonnes » bactéries essentielles), mais des ingrédients proposés apportent d’avantage une sensation, une impression, un leurre (par exemple, ces mousses blanches et abondantes, en réalité toxiques puisque produites par l’action du Sodium Laureth/Lauryl Sulfate, omniprésent dans les cosmétiques) qu’un véritable nettoyage. Ainsi, j’apprécie l’action plus modeste, plus sobre mais voluptueuse de ce produit aux composants naturels : base lavante végétale issue de la noix de coco, eau florale de vanille, extrait végétal de poire.

Quel reproche formuler à ce produit ? J’en vois peu. La contenance même  proportionnellement au prix me semble raisonnable compte tenu de la dose nécessaire à chaque douche. Le flacon dure plusieurs semaines, voire plusieurs mois selon la fréquence d’utilisation, et l’alternance avec d’autres produits. De couleur transparente, peut-être décevra-t-il les adeptes des cosmétiques bariolés et plus fruités, mais l’absence de colorant nous donne justement la sensation de répartir sur son corps un produit sain et adapté à la fragilité de l’épiderme. On en ressort lavé, frais, mais pas surchargé de parfum, en ce que sa tenue sur la peau reste évanescente et disparaît rapidement.

Vous pouvez le commandez sur des sites internet spécialiser, ou le trouver en parapharmacie, et en boutiques biologiques, pour le prix moyen de 5,70 euros.

 

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4 mars 2011

De l'importance du nombre ?

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Comment mesurer ses cheveux ? Il suffit de prendre un mètre de couturière, de placer le à au niveau du front en faisant redescendre le mètre à l’arrière de la tête, et de relever la mesure à laquelle tombent les pointes.

Beaucoup de passionné(e)s des (longs) cheveux s’appliquent à mesurer régulièrement la progression de la croissance. Cela m’évoque un peu le rituel de la balance, lorsque l’on se met au régime et que la victoire sur le poids se solde grâce à un nombre précisément atteint. N’oublie-t-on pas alors de constater les améliorations de la morphologie si l’on pratique un sport, le muscle pesant d’avantage que la graisse ?

 Lorsque je mesure mes cheveux, le résultat me déçoit franchement. 73cm. Certes, ce n’est pas rien, mais par rapport à la longueur que j’observe, et au résultat de l’année passée, je trouve que le nombre ne reflète pas la réalité. Pourtant, c’est lui, l’objectivité. Autrefois, je me fixais 80 cm comme objectif. Cela sonnait bien. J'imaginais qu'ils auraient atteint la taille. Or, c'est pratiquement le cas, et je m'en réjouis tous les jours. Pourquoi le nombre me contrarie-t-il alors ? La précision n'apporte pas toujours la satisfaction. J'ai le sentiment de ne pas contrôler mes efforts, alors que la méthode se veut, à l'inverse, rassurante. Mais, il suffit d'avoir fait des tresses, ou d'un mauvais pli, pour perdre ces précieux centimètres.

Ainsi, je prévilégie d'avantage les mesures approximatives, mais fixes. Les épaules. Les clavicules. La naissance de la poitrine. Sous la poitrine. Les omoplates. Entre la poitrine et la taille. La taille...


La mesure, est-ce une méthode que vous utilisez souvent, afin de constater la croissance de vos cheveux ?
Vous donne-t-elle de l’espoir, ou au contraire, la trouverez vous un peu démoralisante ?

 

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23 février 2011

Les bienfaits de l'huile de fruit de la passion

 

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image: Aroma Zone

 

Une huile que je vous invite à tester pour ses nombreuses vertus et son parfum enivrant : l’huile de fruit de la passion.

En faisant de brèves recherches afin de trouver ce que l’on nommait exactement « fruit de la passion », j’ai découvert qu’il s’agissait du fruit d’une liane fleurie, le passiflore (ou encore grenadille). Elle pousse dans les milieux tropicaux, chauds et humides, généralement en Amérique du Sud.
L’huile est extraite des graines de son fruit. 

 

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Quelques informations au sujet du Passiflore.



► Composition de l’huile de fruit de la passion :

Omégas 3 et oméga 6 :  leur action nutritive combinée renforce les cheveux et favorise leur croissance.
Vitamines B2 : renforce la structure protidique du cheveu
Vitamine B5 : hydrate et aide au développement du follicule pileux

Vitamine F : ensemble de d’acides gras (kinoléique, arachinodique et vaccénique) qui nourrissent et rendent les cheveux brillants.

► Bienfaits :

-    Elle nourrit les cheveux secs, les pointes abimées, sans les graisser puisque sa texture sèche lui permet de pénétrer profondément.
-    Elle convient aux cheveux gras car elle régule la production de sébum.
-    Elle prévient la chute des cheveux et optimise leur croissance.

 

Elle est d’une jolie couleur orangée/dorée, translucide, liquide et fluide.

Sa fragrance est fidèle à celle que nous connaissons habituellement des fruits de la passion : exotique, sucrée, sans être écœurante. Cependant, on ne la sent plus, une fois que l'huile a pénétré dans la peau ou la fibre capillaire.
Son odeur permet de parfumer les préparations. C’est un avantage si l’on ne souhaite pas utiliser de parfum artificiel ou de synthèse. Niveau goût, elle est cependant légèrement amère, mais plus agréable, je trouve, que l’huile d’olive.

J’aime l’utiliser en bains d’huile avant le shampoing ou simplement sur les pointes la nuit (le lendemain, tout est absorbé, les cheveux ne sont pas gras). Si vous avez les cheveux secs et/ou très abîmés, n’hésitez pas à masser vos racines et votre cuir chevelu. Niveau résultat, je la trouve comparable à l'huile de noix du brésil. ou de camélia Peut-être légèrement moins nourrisante, mais elle devient parfaite pour les traitements d'entretien, si vous craignez de surcharger vos cheveux de soins. Elle me semble plus riche que l'huile de coco, trop légère pour les cheveux vraiment secs.

 

 

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21 février 2011

Shampoing réparateur monoï, argan et fruits de la passion.

Confectionner son propre shampoing est un plaisir qui comporte bien des avantages : l'origine des ingrédients n'est pas inconnue, les soins s'adaptent parfaitement à la nature des cheveux, le parfum est personnalisé. Les possibilités de mélanges sont quasiment infinies, et dépendent tant des éléments que vous possédez que du résultat que vous souhaitez obtenir.  Mes cheveux ont besoin d'être beaucoup nourris et hydratés, c'est pourquoi j'ajoute une certaine quantité d'huile végétale. En ce moment, mes favorites sont l'huile de fruits de la passion, légère et à la fragrance délicieuse ; le monoï, qui sent tout aussi bon et fait briller sans alourdir ; l'argan qui répare et adoucit ; et toujours l'oléine de karité, très nourrissante, dont je ne me passe plus, sinon mes cheveux deviennent secs et cassants.

Les ingrédients tels que les huiles, ou autres actifs, parfums de synthèses, peuvent être remplacés à votre guise. Seuls les conservateurs et la base lavante ne bougent pas.

Je vous donne ici la recette de mon shampoing du moment. J'y réunis presque tous les ingrédients naturels que je possède, par plaisir d'enrichir encore la préparation, parce qu'elle me donne d'excellents résultats, et que j'aime son odeur sucrée vanillée/caramélisée. Il est pour cheveux secs, cassants, dévitalisés, colorés, abîmés... Bref, ceux qui ont besoin d'être réparés. Pour les cheveux à tendance grasse, remplacez l'oléine de karité par de l'huile de noisette,  diminuez la quantité d'argan et de monoï, et n'ajoutez pas de silicone végétal.

 

 

01

Ingrédients (dans l'ordre d'ajout) :

1. Récipient plastique de 100 mL

2. Hydrolat de citron : La préparation mousse mieux, et il rend les cheveux brillants. (2 cuil. à café)
3. Gel d'aloé Véra : Il adoucit, répare et nourrit. (1 grosse goutte)
4. Oléine de karité : Extrêmement nourrissante, régénérante (1/2 cuil à café)
5. Huile végétale d'argan : Adoucissante, réparatrice (1/2 cuil. à café)
6. Macérât huileux de monoï : Odeur délicieuse, lisse et fait briller ( 1 cuil. à café)
7. Huile de fruits de la passion :Odeur délicieuse ! Lisse et adoucit dans graisser. (1 cuil. à café)
8. Poudre de banane : Nourrissante, hydratante. (1 cuil. à café)
9. Silicone Végétal : Lisse les cheveux (1/2 cuil. à café)
10. Phytokératine : Nourrit en profondeur, épaissit, rend aux chevuex leur élasticité (1 cuil. à café)
11. Vitamine E : Conservateur pour huiles et soin nourrissant (5 gouttes)
12. Naticide : Conservateur. Odeur d'amande caramélisée délicieuse ! (5 gouttes)
13. Extrait naturel de vanille : Juste pour parfumer encore. (10 gouttes)

14. Base lavante neutre.

 

 

 

03Étape 1 : Ajoutez l'hydrolat de citron le gel d'aloé véra et les huiles végétales, puis mélangez. Le résultat n'est pas des plus homogène à cause de la rencontre entre l'huile et l'eau, mais cela se dissout ensuite dans la base lavante. Je préfère ajouter un peu d'hydrolat (citron, mais on peut le remplacer par la sauge, le romarin, ou tout autre), car le shampoing mousse ainsi plus facilement et il est moins nécessaire de le diluer dans l'eau avant application.

Étape 2 : Rajoutez le silicone végétal et la poudre de banane. Mélangez. Versez une partie de la base lavante afin de mélanger encore et d'ajouter par la suite la phytokératine. En effet, si vous ne possèdez pas déjà une certaine quantité de produit, celle-ci tombe au fond du récipient et ne se mêle pas aux autres ingrédients. Il est donc conseillé de l'ajouter à la fin de la préparation. Je préfère l'inclure au milieu, car cela laisse une bonne marge pour secouer vigoureusement. Vous obtenez ainsi un produit de couleur claire, opaque, crémeux. Le flacon est remplit à moitié.

Étape 3 : Après avoir incorporé la phytokératine, mélangez encore et rajoutez la vitamine E, le Naticide (vous remarquerez sa fragrance très prononcée, caramélisée, elle parfume déjà le shampoing), ainsi que (facultatif, vous pouvez remplacer par d'autres parfums ou non), l'extrait naturel de vanille.

Étape 4 : Mélangez vigoureusement. Rajoutez de la base lavante afin de remplir le flacon et mélangez encore. Le shampoing est optimal d'ici une demi-heure, le temps de devenir vraiment homogène (on voit encore la couche aqueuse sur la photo ci-dessous), le temps que tous les ingrédients se diluent les uns dans les autres. Secouez régulièrement afin d'accélérer le processus.

Vous pouvez le conserver à température ambiante ou au frais. Grâce au Naticide et à la vitamine E, il est utilisable environ durant deux mois (trois au réfrigérateur).

 

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Astuce pour parfumer vos cheveux :
Mettez une ou deux gouttes d'extrait de fruit ou de vanille dans votre main (c'est un peu collant) et passez les dans vos cheveux (cela ne colle pas ou ne donne pas d'effet poisseux, la texture des cheveux ne change pas mais le parfum se dépose délicatement).

 

Retrouvez le blog avec une nouvelle présentation à cette adresse. :-)
http://longscheveux.blogspot.com

 

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